Si la chirurgie esthétique a connu son plein essor suite à la première guerre mondiale où elle était pratiquée pour un but purement réparateur, elle continue à s’avérer indispensable pour traiter les disgrâces et les gênes causées par les attentats –dernièrement l’attentat de Nice– et les guerres qui ne cessent de s’annoncer ici et là partout dans le monde.
De nos jours, dans un monde où plusieurs pays sont ravagés par les guerres, sont considérés chanceux ceux qui se retrouvent vivants avec des handicapes plus ou moins majeurs. Ces victimes ont besoin en plus de suivi psychologique d’un suivi médical pour traiter les déformations qu’ils ont subi.
En Irak, en Syrie, au Liban suite à la guerre civile et dans plusieurs autres pays qui ont vécu la guerre, les victimes tentent la chirurgie esthétique afin de retrouver la forme normale de leurs corps et visages « défigurés ».
Quelle est la chirurgie esthétique la plus pratiquée ?
La chirurgie maxillo-faciale esthétique et réparatrice ou la reconstruction faciale reste l’intervention la plus pratiquée dans les centres et les cliniques spécialisés dans le domaine de l’esthétique et l’opération la plus demandée par les blessées de guerre. Elle leur permet de redonner un aspect acceptable au visage et de retrouver une certaine harmonie suite aux traumatismes subis.
La chirurgie esthétique des guerres plus qu’un confort, une nécessité
Plus qu’un confort et un phénomène de mode, la chirurgie plastique est aujourd’hui plus que nécessaire pour corriger les aspects inesthétiques causés par les accidents graves et les guerres.